Belle histoire de la rue - BELLE HISTOIRE D'AMOUR

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Belle histoire de la rue

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« …dans la joie comme dans la tristesse, le bonheur comme dans le malheur, la santé et la maladie, jusqu’à ce que la mort nous sépare ». Debout au milieu de mon dressing, je me rappelle de ces paroles comme si c’était hier. 😔Je regarde avec une indicible tristesse ma robe de mariée. Ça fait 8 ans. Je me revois ce jour-là, hyper heureuse entourée de ma famille, de mes amis et même de mes ennemis. J’avais épousé Jonathan. Nous avons brisé les clivages sociaux, ethniques, familiaux : Mariés envers et contre tous. Mon cœur était tellement enflé d’orgueil que je n’avais pas pris en compte les avertissements de ma mère, de mes sœurs, de mes amis, de ma belle-famille. J’avais relevé le défi : celui d’épouser Jonathan. 😏On ne donnait pas cher de ma peau. Fils d’un richissime homme d’affaires bamiléké, Jonathan venait à peine de terminer son MBA en Angleterre quand il est rentré aider son père dans l’entreprise familiale. 

Moi, j’étais Directrice commerciale dans l’entreprise, filiale de Douala. A 33 ans, je m’étais frayée un chemin prometteur dans une sphère professionnelle assez compliquée. Une ascension que je dois à la sueur de mon corps. 😪Toutes mes parties y sont passées. De mon cerveau à mes lass. Tout… Je gérais ma petite vie pleine de hauts et de bas sentimentaux. En couple à cette époque-là avec “l’homme d’autrui “ comme on dit chez nous, j’ai accueilli la drague de Jonathan comme un pasto d’une église réveillée accueille une nouvelle fidèle dans son église : Une opportunité ; celle d’avoir un homme à moi ! Mon homme…🙏 

Foudroyée par un élan de nostalgie, je m’écroule dans mon lit. Je revois comme si c’était hier la première fois qu’on s’était rencontré. 💘Le fils prodige venait présider notre réunion hebdomadaire et le charme a opéré. A ce moment-là, je sus que je n’aurais la paix que lorsque je le mettrai dans mon lit. Après deux ans de passion, on a décidé de passer à l’étape supérieure. 💑

Moi, la vieille fille de 35 ans, je ne pouvais qu’être reconnaissante à la vie d’avoir un homme qui a foulé l’enfer des traditions et le poids du conservatisme aveugle pour moi. ! Belle comme une déesse, bassa de Ngo Mapoubi et de cinq ans son ainée, notre relation était atypique. Mais comme c’était bon d’avoir son bam’s qui mange le mbongo tchobi ; Un bam’s qui signe monogamie avec une nkwah devant ses parents. Ces derniers, fous de désespoir m’ont proposé de l’argent pour sortir de la vie de leur fils. Allez tourner mes chers ! J’ai le plus grand des héritages à mon doigt.😏 Cette tentative échouée avait marqué le début d’une guerre froide avec ses parents ; Situation que je croyais irréversible mais c’était sans compter la mort de son père l’année dernière. Tant que la famille était loin, je gérais. Mon mari m’écoutait. Mais dernièrement, j’assiste avec lâcheté à leur réconciliation…A mes dépens.😪 

Le revers de la médaille ; le froid de l’acier, je sens ça dans mon cœur! 😢Ne nous leurrons pas. Le mariage chez nous ce n’est pas comme chez les blancs qui gèrent 2 places. Chez nous, on épouse une famille ; on épouse un village, on épouse une ethnie. Moi, j’ai complètement raté mon intégration. Après 8 ans de mariage, la passion s’est émoussée, la fougue s’est évaporée remplacée par un genre de léthargie…un léger coma ponctué d’une sorte de rancœur d’un côté comme de l’autre. L’atmosphère est lourde ; 😓Jonathan a changé, Jonathan a beaucoup changé. La réalité nous a rattrapé. 😭 
Des bruits ! Au salon ! Mais c’est qui ? Je sors en trombe pour tomber voup sur mes sorciers.😩 Les gens ci sont encore venus faire quoi ici ? Avec appréhension, je regarde Maman Hélène me traverser en piaffant. J’essuie mes mains sur mon kaba. Mama, sois la bienvenue ;😬 Marie, c’est comment ? Je ne savais pas que vous viendriez. 

Yeuch ! Quand tu as épousé le dernier fils d’une famille d’illuminés tribalistes ! A Zambe ! Comment les gens disent qu’ils aiment trop leur village mais vivent dans une luxueuse villa à Etoug-Ebé ? Si tu aimes trop Babadjou, va rester chez toi norr !!! Ntap ! 😒Donc, les gens qui t’ont vendu le terrain en ville étaient fous ? 

Marie: Jojo nous a demandé de passer ici pour discuter au sujet de mon toqué porte 

Sourires forcés de part et d’autre ! Ces gens m’insupportent à un point ! 😓Oulala ! Surtout Karaba la sorcière. 

Moi : Pardon, mais j’étais en train de préparer le repas de Midi. Je reviens. Prenez place. 
Ma’a Hélène 😡: On va se gêner oui !!! 

Je repars vers la cuisine, plus abattue que jamais sous les murmures et les commentaires désobligeants de Ma’a Hélène. Quoi qu’on dise, les barrières ethniques sont encore vivaces chez nous. Ces gens ne m’ont jamais accepté. Le jour de mon mariage religieux, elle a pleuré au point où pendant que je criais mes vœux à la cathédrale, elle s’enroulait à l’hôpital de douleur. L’amertume de son cœur avait débordé. 

Mon cœur cuit lentement comme le riz qui est au feu ! Ces gens me veulent encore quoi ?😕 Comment Jo peut inviter sa famille à la maison sans m’en parler ? Mamaé ! c’est encore quelle qualité de mariage ça ? Comment peut-il me mettre en si mauvaise posture ? C’est quel famla où je suis entrée comme ça ? 😭 

Je pose une autre marmite sur le foyer libre. Il faut que je prépare une autre marmite de riz. Subitement, mon cœur bouboup ! 😰Les gens-ci ne sont pas bienvenus. Je me lève. Il faut que sache. Il n’y a pas de fumée sans feu. Depuis une semaine, Jo et moi, on ne se parle pas, on se regarde à peine. Hier, toute la journée, c’était des messes basses au téléphone. Une goutte de sueur tchak à terre. Il faut que je sache. Je me colle contre le mur du couloir. Massa ! On dirait que mon salon est devenu la chefferie de Babadjou. Le patois fait rage « Nkwah nbἅ Nkwah ». Toum mon cœur !😱 Cette phrase résonne comme une sentence dans toute la pièce. Je cours me réfugier à la cuisine. 

30 minutes plus tard, une voiture remonte l’allée. C’est Jo. Le cœur battant la chamade, j’entends sa voix. Enjouée, chaleureuse ; Il cause avec ses gens.

Lui : Depuis que ma mère est là, même l’eau…tu ne lui proposes pas Madame ! 
Moi 😵: Mais..mais…je servais… 

Woyye ! Où est le frigo ? L’eau…Mais est ce qu’elle m’a demandé ? Il arrache la bouteille de mes mains, cherche une carafe et transvase l’eau. Je lui tends les verres qu’il arrache et sort de la cuisine. Je suis dépassée ! 😰 

Lui : Ah ! Viens. On doit parler. 

Parler là est qu’il se dirige au salon et s’assoit dans le canapé à côté de sa mère. Tu peux bien me dire quoi devant la femme-ci ? J’enlève les nappes sur la table à manger. Le bouquet de fleurs, je le pose sur le guéridon.

Lui : Tu fais quoi? 
Moi : Je dresse la table pour le repas. 
Ma’a Hé : Tu dresses la table quand tu vois ton mari hein ! Depuis que je suis là, tu as mon temps ? Je ne mange pas. 

😰Les gens-ci vont me faire pleurer onong. C’est quelle vie ça ! Mais je continue. Quand je finis, je viens m’assoir sur le fauteuil en face d’eux. J’ai toujours été quelqu’un de très sûr de moi. Mais ces gens me rendent faible et insignifiante. 😫😫Ma belle-mère, malgré son cerveau préhistorique est un haut cadre de ce pays. Cultivée, brillante. Si on s’était connu autrement, je suis sûre que je l’aurais respectée. Mais quand il s’agit de son fils et de moi, elle devient bornée et exécrable. Je fixe mon alliance qui brille de mille feux. Hum ! La prison !😪 

Elle : Grand père m’a dit que la énième tentative de fécondation in vitro n’a pas marché ? 

Eh haa ! 😰😰Donc elle est au courant. La honte et la douleur m’éclaboussent. 

Elle : Ce sont des choses qui peuvent arriver. En tant que femme, je peux comprendre ton combat. C’est difficile! Mais en tant que mère…Hum Tu as 43 ans déjà Ngo…Pourquoi tu n’envisages pas de laisser ton mari être père ? C’est son vœu le plus cher. 

Je tombe du 6ème étage toum !😱 C’est donc ça la raison de sa visite. Tellement assommée, je m’adosse contre le fauteuil et je croise les mains. Je vois mes ancêtres Bassas avec les machettes dans un coin de ma tête mais je respire fort pour reprendre le contrôle de mon corps. Le lâche est à côté et baisse les yeux. 

Elle :😒 Je t’ai parlé à de nombreuses reprises…tu ne m’as pas écouté. Ce mariage…Humm ! Mais Bon…ce qui est fait est fait. 10 ans. Il est temps de revoir certaines choses. 
Moi :😒 Et certaines choses-là c’est quoi Ma’a Hélène ? 
Elle : Grand-père est le successeur. C’est lui notre grand père. Tu ne peux pas comprendre la portée de ce mot. 
Moi :😒 Et cultivée comme vous l’êtes, vous pouvez comprendre la portée du mot mariage monogamique. Jonathan ! Si la présence de la femme stérile que je suis te pèse, pourquoi tu ne me le dis pas en face ? 
Lui : 😪Mama, tu vois ? Elle ne comprend rien. C’est pour ça que je t’ai appelé. Elle fait comme si… 
Moi :😡 Comme si quoi ? Puisque ma vie est dehors, il faut dire à Ma’a Hélène que nous deux on a un problème hein !!! Tu lui as montré ton spermogramme ? 
Lui : Je me suis soigné. Parce que moi je peux faire… 

Mon cœur va se couper aujourd’hui ! 😳Tu voulais dire quoi ? Parle ! 😨Donc, tu peux faire les enfants. Et comment tu sais que tu peux faire les enfants ? Je transpire quoi sous le clim ? Je touche mes joues. Ce n’est pas la sueur ! Je suis en train de pleurer. L’humiliation et la trahison de Fomekong me dépassent.😭😭 
Mais parle FOMEKONG ! Tu as fait l’enfant dehors ?

Sa mère : Chez nous, l’enfant c’est l’enfant. Il n’y a pas l’enfant dehors. 
Moïse : Calme toi Léonie. Jojo, moi j’ai dit que tu aurais dû d’abord mettre ton épouse au courant de tout avant de nous appeler. 
Lui : Elle aurait réagi pareil. Je la connais. 

Un moment de silence pendant lequel j’ai envie de porter mes choses et de sortir de cette maison, de cette famille. Fomekong, nessa tu m’as dit que tu ne me feras pas les choses des gars-là qui vont épouser leur sœur au village ?😭 Tu m’as promis de me soutenir norr ! Tu m’as dit que quoi qu’il nous en coûte, on aura notre enfant. Tu me fais quoi comme ça ? 😭😭Comment tu peux me faire ça ? Je m’écroule. A nyambè ! Je vais mourir. 

Lui : Oui je sais. Et je tiendrais mes promesses. 

Menteur ; je suis seule désormais. C’est ce que vous vouliez me dire ? 😪Que FOMEKONG a un enfant ? Ok ! Si c’est tout, je vais me retirer. 

Sa mère : C’est une princesse de la chefferie. 

Je me retourne brusquement ! Et puis? 😒 Aussi sûr que je suis la fille de Feu BAYIHA, elle n’entrera pas ici. Je lui laisse le village et tout le reste…mais la maison-ci…Noo.😡 Jonathan, j’ai supporté beaucoup de choses mais tu sais bien que je ne le permettrais jamais.

Sa mère 🙄: Si tu veux continuer à profiter de toute cette aisance, tu le permettras ; crois-moi. 

Attends je me rassois. Depuis que la femme-ci me malmène, je me tais, elle croit que je suis seulement Bassa de nom. Mamie, attends un peu.😡

Moi : 😒La mère ! Vous parlez de quelle aisance là ? Jonathan ne m’a pas ramassé dans le caniveau hein…J’étais une femme autonome, accomplie 
Elle :😡😡😡 Eh Lock Shu ! Mbaplou ! Une cougar accomplie, autonome qui cherchait un enfant sur qui s’agripper pour le sucer comme l’orange. Donc dans tes 33 ans d’autonomie et d’accomplissement là, aucun homme ne t’avait pas encore mis chez lui ? Eux au moins, ils étaient sages… 
Jonathan : Maman, ne lui parle pas comme ça s’il te plait. 
Elle : 😡Je lui parle comme il me plait de lui parler. C’est simple Ngo Bayiha. Tu divorces simplement…et tu te remaries sous le régime polygamique ou…rien. 

Ha ha ha ha ha. Je ris niok niok…🤣🤣Je préfère mourir. Mais quand je vois la tête de Jonathan, mes dents s’entrechoquent dans ma bouche. 😨 Je sais que mon sort est déjà scellé. Cette famille est trop puissante. Un jour, je vais rester comme ça et c’est l’huissier qui va me demander de sortir de cette maison. Déjà que c’est le terrain de son père. Il est mort l’année dernière et cette femme gère sa famille d’une main de fer. 

Je n’ai plus moi la force. 😭Mieux, je me retire. Je n’ai plus la force. Je fais mes affaires, je rentre chez moi ? Seigneur, où est l’enfant que je te demande depuis 10 ans ? Prends pitié et rends moi vainqueur de ce combat. Donc, on peut faire ça ? Divorcer et se remarier sous un autre régime ? Les gens-ci vont tout me montrer. J’ai eu quoi à moi dans ce foyer ? En dehors du terrain de Mfou que j’ai acheté ? Rien. Chercher le bébé a pris tout mon argent. Tout y est passé : Mon argent, mon énergie, mes espoirs. Même mon mariage… Eh ! A djob djièm ! Je fais comment ? 😭😭 

Ou ils sont restés combien de temps oh ! J’étais dans ma chambre à regarder ma penderie. Me décider entre décintrer mes habits, les emballer et partir ou appeler Laurelle, mon amie d’enfance avocate. Mais tout ça n’est rien à côté de la boule qui m’oppresse. Jonathan ! Comme je l’aime ! Pourquoi il me fait ça ? 

Les bruits de voitures ; ils partent. Tant mieux ! Je descends les escaliers en trombe pour trouver le salon désert. Jonathan est parti avec eux. J’allais même faire quoi ?😔 Lui parler ? 

Minuit, 1heure du matin, 2h, 3h25 …Il n’est toujours pas rentré. Humm ! Il est où ? Au foyer Babajou de Yaoundé ? Hum ! Je l’ai perdu ! Définitivement. Qui m’appelle là ? Marie ! Il y’a encore quoi ? 

Elle (complètement paniquée) : Léonie ! Nous sommes aux Urgences de l’Hôpital Central. Viens vite. 

Quoi ?😨 QUOI ? Hein ? 😱Qui est à l’hôpital ? Jonathan ? Hein ? Il y’a quoi ? Il y’a quoi ? Accident ?? 😱😱 
Yessou ! Les clefs de ma voiture ! vite vite ! Mon sac ! Vite ! Quoi d’autre ! Le dossier médical de Jonathan. Je plonge dans le véhicule. J’appuie sur l’accélérateur. Est-ce que je vois même la route ?😰😰 Mon corps conduit mais mon cœur est déjà arrivé à l’hôpital. On gare où ? Je saute hors de la voiture. Marathon ! C’est par où là ? Maman Hélène est là, Marie et une fille que je reconnais. Une de ses amies je crois ! Elles sont complètement paniquées. 😲😲Ma’a, qu’est ce qui s’est passé ? Elle me toise et dit d’une voix sourde : 

Je saurais le fin mot de cette histoire. Si tu veux tuer mon fils ! Je saurais ! 

Les bras m’en tombent. 😵😵Que nkoah ? J’ai fait quoi ? Je me rapproche de Marie : muette comme une tombe. Je suis dépassée. Je repère le long banc des garde-malades. Pardon, poussez-vous. Waaa ! Seigneur ! C’est encore quelle histoire comme ça ? Voilà une femme en blouse qui passe. Je me lève vroup. Madame ! Madame, mon mari est dedans là-bas…M. FOMEKONG...Je suis avec les femmes-là. Qu’est ce qui ne va pas ? Comment va-t-il ? 

Elle : C’est votre mari qui est arrivé poignardé? 
Moi : 😨Poignar…Hein ? Oui c’est mari. 
Elle : A moins un, il se vidait de son sang. Mais bon…on lui fait une transfusion. Ça va aller. 
Moi : Je peux le voir ? 
Elle : Oui. Attendez-moi ici. J’arrive. On va entrer ensemble. 

Oh Merci merci… 😪😪Je veux me rassoir mais mes jambes refusent de m’obéir. Il faut que je fasse les cent pas en attendant la femme là ! Je suis morte d’inquiétude. Il faut que j’appelle ma mère. J’ai besoin d’elle. Je suis perdue. Où est même le téléphone là ? Wesh ! Je l’ai oublié ! 
La femme à côté de moi en kaba : Eh ! Les femmes souffrent ! Les femmes souffrent ! 

Wèè ma sœur Bassa ! Elle parle en patois. Quand je veux lui sourire, la voix à côté d’elle me stoppe net. 😧Elle ne s’adresse pas à moi. En fait, elle cause à la femme à côté d’elle.😱 

Mamie Japap2 : Je te dis ! Tu restes, ta part vient. Les hommes-ci vont tout nous montrer. Il parait que la petite en robe rose là c’est la njomba et voici sa femme ici. Oh ! Toi aussi, ne la regarde pas ! On ne peut pas te dire quelque chose ? Le gars est allé chez sa njomba et au moment où il montait dans sa voiture, les gars l’ont braqué. 

Eh Nyambè ! 😳Merci de m’avoir fait naître Bassa ! Elles parlent de moi sans se rendre compte que j’entends tout. Mes oreilles entrent en mode antenne parabolico-japaptique😧😧 

Mamie Japap 1 : Humm ! A Nyambè ! Et la pauvre arrive en courant pour le cougnafé. Et regarde moi même la friperie avec laquelle il trompe sa femme ! Les hommes ! Si c’est moi, je ne viens pas. 
Mamie Japap2 : Elle ne vient pas qu’elle a le choix ? Est-ce que la mboutoukou connait ? La famille du gars a un peu. Toi, tu ne vois pas comment on la snobe depuis là ? 😒 

Mes yeux s’ouvrent comme les tomates de Foumbot. 😳😳Mamaé ! Qu’est ce qui se passe ici ? 

Les femmes qui sont plus vieilles que leur gars, cougarement vôtre🙌🙌🙌 

Ma’a, sauf si tu as l’argent et que tu exceptionnellement belle…😪😪sinon va toi vivre à côté de l’Elysée. Onong !!

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